Israël, qui n'en est plus à une option près dans son abjecte conquête mondialo-territorial, se met à se payer le plus possible de partis faschistes Européens. Admettons que du côté des Israëliens les plus "purs" (ou les moins sionistes), cela leur met une drôle de claque, tout autant d'ailleurs qu'aux puristes des extrêmes droitières Européenes. Arriverons bien des jours ou Nethanyu et homologues fachos de tous bords, devront rendre des comptes de cette joyeuse et si barbare escroquerie.
Le meltingpot du grand n'importe quoi
En décembre 2010, une trentaine de dirigeants d’extrême droite européens se réclamant de la European Freedom Alliance (EFA) s’étaient rendus en Israël. Parmi eux, le néerlandais Geert Wilders, le belge Philip Dewinter, du parti flamand Vlaams Belang, ou encore Heinz-Christian Strache, le successeur autrichien de Jorg Haïder. Mais cette fois de ce voyage Marine Le Pen, n'y sera pas.
Pour Marine c'est, partie remise
Dans un premier temps, le parti FN a fermement démenti préparer quelque voyage que ce soit à destination de l’Etat hébreu. Alors que la fille se montre décidée à tourner le dos aux obsessions de son géniteur pour les faits de la seconde guerre mondiale, mais aussi pour la guerre d’Algérie, il apparaît que sous son impulsion, le FN a entrepris de troquer ses oripeaux post-fascistes et racialistes, pour un différentialisme à caractère essentiellement culturel et religieux, teinté d’occidentalisme.
Son lieutenant Louis Aliot ne considère-t-il pas l’antisémitisme comme le principal « verrou de la diabolisation » ? C’est sans doute en partie pour faire sauter ce verrou que Marine Le Pen affirmait récemment que « les camps ont été le summum de la barbarie ». Mais peut-être cela était-il aussi le premier jalon d’une volonté sincère de tourner le dos au passé antisémite et négationniste du Front national.
certains se demandent maintenant s’il sera forcément une bonne chose. Les événements dans le monde arabe changent la donne.Pour le moment cependant, le principe du déplacement reste d’actualité. La balance penche plutôt toujours vers le voyage au Mur des lamentations et au Musée de l’holocauste, afin que les positions de papa ne soient plus qu’un point de détail dans la stratégie présidentielle de Marine. Reste à choisir une date emblématique.
Petite citation exemplaire de Marine Le Pen"Après tout, le Front national a toujours été pro-sioniste et toujours défendu le droit à l’existence d’Israël»
Rappelons au passage que même sous l'ére Jean Marie, le sionisme à toujours été influent sous le FN, quelques "doux" exemples
Serge André Yourevitch Verebrussoff de Beketch, né à Tours dans l'Indre-et-Loire le 12 décembre 1946 et mort le 6 octobre 2007 à Clichy : journaliste français, scénariste de bande dessinée et un écrivain lié à l'extrême-droite, de tous temps proche du Fn, de Jean-marie Le Pen voir sa page wikipédia, dénnoncé en tant qu'antisémite notoire...( malgré une courte participation au côté d'israel à la guerre des 6 jours.)
et ce dernier fondera devinez quoi ? : Le Cercle d'amitié française juive et chrétienne proche du front national avec Bernard Antony, Alain Sanders, Jean-Pierre Cohen et Pierre Semour. il est écris ça et là être proche en fin de compte d'un service rattaché au mossad
Jean-Pierre Cohen, né le 1er décembre 1941 à Oran (en Algérie, alors dans un département de l'Algérie française), est un journaliste français.
Ancien journaliste de l'hebdomadaire Minute (1966 à 1981) dont il a été le rédacteur en chef de 1993 à 1995, il a collaboré fréquemment avec Serge de Beketch dans Le Libre Journal de la France Courtoise. Il y fut notamment l'auteur de chroniques d'humour sépharade, publiées ensuite un recueil en deux volumes, appelé « Les Cohenneries » : il s'y met en scène dans le rôle d'un juif paranoïaque terrorisé par l'antisémitisme,
Co-président du Cercle d’Amitié française juive et chrétienne (proche du Front national), il est auteur, avec Bernard Antony d'une brochure, intitulée : « Ni raciste, ni antisémite, le FN répond aux organisations juives qui le combattent injustement. »
Bernard Romain Marie Antony est un journaliste, essayiste et militant politique français, né à Tarbes (Hautes-Pyrénées) le 28 novembre 1944. Il est l'un des principaux chefs de file de la sensibilité « traditionaliste », nationale et catholique. député européen Front national de 1984 à 1999. Coprésident du Cercle d'Amitié française juive et chrétienne avec Jean-Pierre Cohen et Serge de Beketch. participe en 1982 à la fondation du quotidien Présent, dont il sera le directeur général