La France sous Sarkozy, place l'internet de notre pays parmis les plus surveillés au monde

19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 22:09

La France sous Sarkozy, place l'internet de notre pays parmis les plus surveillés au monde

On connait l'aspect répressif de la politique Sarkozienne, transformant en quelques années notre pays, vers une sorte de libéral fascisme.
Une loi pour tripler le nombre de caméra, une loi Hadopi sur la propriété numérique puis hadopi 2 et 3, une autre sur la pénalisation des occupations de halls d'immeubles, sur La pénalisation du "racolage passif", ou interdisant le port de cagoules, Une loi sur les violences sportives, … en tout 27 décrets ou lois pénales adoptés, dont quatre sur la récidive, se révèlent en grande partie inutiles et ont développé le « mythe d'une société sans crime ». ou « parfaite ». Encore aurait-il pu ajouter celle encadrant, de pouvoir mettre sur écoute les juges ou journalistes par nos services secrets.

Normal, il n’est pas du tout aimé, voir pire…c’est un homme viscéralement Haïs par le peuple, et seul les 500 milliards d’Euros qu’il à consumé en notre nom, l’on aidé à ne pas pour le moment fuir, comme beaucoup d’autres « de sa stature », en Israël.

Malgré toute son énergie dépensée dans le tout répressif, et par ce qu’il ne vous à jamais aimé, - là est la vérité - il à de plus en plus peur de vous… « pas de son », mais « du peuple ».
Pour symbolisme, Il en est tous les ans à laisser sa capitale sans feu d’artifice le soir du 31 Décembre, ne le vivez pas comme une sanction, mais voyez plutôt que sous disparates prétextes il à viscéralement peur du peuple France comme un président qui depuis le début vous à simplement haïs.

La jubilation du pouvoir si affichée chez Sarkozy va donc de pair avec son goût immodéré de l'usage des répressions.
Le "populisme pénal" est un de ses outils politiques préférés.

Cette politique « du grand n’importe quoi » a abouti parallèlement à un quasi-abandon de la lutte contre la corruption et la délinquance financière.
Seules 10 informations judiciaires étant ouvertes en 2009 au pôle financier de Paris, contre 101 en 2006, remarquez il sait au moins ce qu’il veut, et il ne saurait être là pour envoyer toutes ses copines respirer les poussières de la santé.
censure site blog Les conséquences internationales de l’action de nos petits gouvernants "Sarkoziens", se font donc elles aussi ressentir, ainsi nous voila d’après un rapport de Reporter sans Frontières aux côtés :
du Bahreïn, qui oscille entre renforcement du filtrage et libérations de blogueurs.
du Bélarus, où les élections ont inauguré une nouvelle ère de répression contre les médias en ligne.
De La Corée du Sud, qui renforce la censure de la propagande de son voisin du Nord et conserve un arsenal législatif répressif.
Des Emirats arabes unis, où le filtrage et la surveillance s’amplifient.
De L’Erythrée, régime policier qui maintient ses citoyens à l’écart du Web et surveille les net-citoyens.
La Libye où l’ex régime, en plein chaos, tentait de mettre en place un blackout de l’information, en coupant l’accès au Net.
Aux côtés de La Malaisie, où les blogueurs, plus crédibles que les médias traditionnels, sont maintenus sous pression.
De La Russie, où le gouvernement cherche à modeler le Net russe, de plus en plus influent, à sa guise.
Du Sri Lanka, où les journalistes et médias en ligne continuent d’être victimes de violences.
De La Thaïlande, où la crise du printemps 2010 a eu des conséquences négatives sur la liberté d’expression en ligne.
Et de la Turquie, où plusieurs milliers de sites restent inaccessibles et les poursuites judiciaires contre des journalistes en ligne continuent.
Marianne degout-affaire-merha-guéant Ainsi la France à rejoint la liste des pays sous surveillance. En raison de l’adoption d’une législation prévoyant un filtrage administratif du Web, de la mise en place de la “riposte graduée” et de la défense par les autorités d’un Internet “civilisé”. Plusieurs médias en ligne et leurs journalistes ont connu une année 2010 difficile, victimes de cambriolages, de convocations devant la justice et de pressions pour identifier leurs sources.